L’insertion de dilatateurs osmotiques pratiquées au cours d’interruptions volontaires de grossesse ainsi que la pose de dispositifs intra-utérins ou stérilets sont des procédures gynécologiques pouvant causer de la douleur chez certaines patientes. Près de 1200 procédures de cette nature sont réalisées en moyenne chaque année au CHU de Québec. L’UETMIS du CHU de Québec a été sollicitée afin d’évaluer si l’application d’un anesthésique topique sur les muqueuses génitales ou le col de l’utérus devrait être introduite lors de ces procédures gynécologiques.