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Récits de l'Hôpital de l’Enfant-Jésus


 

L’Hôpital de l’Enfant-Jésus

La fondation de l’Hôpital de l’Enfant-Jésus, en 1923, s’inscrit dans un contexte où la mortalité infantile fait des ravages au Québec. C’est la Dre Irma LeVasseurCe lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre., première femme médecin québécoise francophone, qui est l’instigatrice du projet. À l’automne 1922, elle entreprend à Québec ce qu’elle a accompli à Montréal en 1908 avec l’Hôpital Sainte-Justine : un hôpital spécialisé en pédiatrie qui se donne pour mission première de soigner les « enfants malades pauvres ». Le pédiatre René FortierCe lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre. collabore au projet et s’y consacre activement, tout comme l’orthopédiste Joseph-Édouard Samson. 


En décembre de la même année, la Dre LeVasseurCe lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre. acquiert ainsi une propriété sise au 55 rue de la Grande Allée afin d’établir un premier « dispensaire ». Celui-ci est officiellement inauguré le 31 janvier 1923 avec l’arrivée de deux premiers patients. Le 2 mai, l’hôpital est légalement incorporé et le Dr FortierCe lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre. lui donne le nom d’« Hôpital de l’Enfant-Jésus », d’après le premier hôpital parisien pour enfants fondé en 1801, et ce, apparemment sans savoir que les Sœurs Dominicaines de l’Enfant-Jésus accepteraient d’en assurer la régie interne (l’équivalent d’une direction générale d’aujourd’hui).

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Dès juin, en effet, les Dominicaines arrivent au dispensaire et c’est Sœur Marie-Anne Nadeau qui est désignée pour le diriger. Peu après, l’École des Infirmières de l’Hôpital est inaugurée. Sa première cohorte de cinq étudiantes, dont fait partie Sœur Gérard-Majella, sera diplômée en 1926.

Un mois précédant l’arrivée des Dominicaines, en mai 1923, le nouveau statut juridique de l’Hôpital, son incorporation, donne naissance à une Corporation qui exerce le pouvoir administratif. Mais très tôt, un conflit émerge entre cette entité légale et la Dre LeVasseurCe lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre. qui avait eu jusqu’alors l’entière responsabilité de cette gestion et avait de surcroît injecté des sommes d’argent dans l’aventure. En raison de ce différend, la Dre LeVasseurCe lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre. se voit forcée d’abandonner toute responsabilité administrative dès le mois d’août et, en octobre, sous l’insistance du Conseil d’administration, elle est expulsée du Bureau médical (l’ancêtre des actuels Conseils de médecins, dentistes et pharmaciens).

Elle reprend alors ses droits de propriétaire sur sa maison de la Grande Allée et met fin au bail de l’hôpital. Ce dernier doit donc se trouver de nouveaux locaux, une tâche qui s’avère longue et ardue. En effet, c’est seulement après avoir occupé plusieurs immeubles plus ou moins adaptés à sa mission médicale qu’en 1927 l’hôpital trouve enfin sa destination finale sur le chemin de la Canardière, dans l’ancien juvénat des Révérends Frères des Écoles chrétiennes alors vacant, aujourd’hui le corps architectural central de l’établissement.

Pendant les années qui suivent sa fondation, en particulier après le déménagement de 1927, l’hôpital se transforme progressivement en se généralisant et en accueillant de plus en plus de patients adultes. En 1929, à la suite du décès du Dr FortierCe lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre., cofondateur de l’Hôpital et président de son Bureau médical, cette tendance s’accélère davantage. De fait, les années qui suivent concrétisent l’orientation de plus en plus généraliste de l’Hôpital, grâce en partie à une réorganisation structurelle en 1939 qui double le nombre de services cliniques. Par ailleurs, cette même année voit naître un service de neurochirurgie innovant pour son époque et qui entraînera plus tard l’essor de plusieurs autres spécialités, dont la chirurgie faciale et maxillo-faciale dans les années 1970. 

Pendant la Deuxième Guerre mondiale, l’hôpital connaît une importante pénurie de personnel, due à la mobilisation, couplée d’un manque chronique d’espace et de lits. Cette période est suivie dans l’après-guerre par une croissance qui se matérialise avec la construction d’un bloc opératoire et de travaux d’agrandissement, de même qu’avec l’émergence de diverses spécialités autour desquelles se greffent des services supplémentaires dits de troisième ligne.

Jusqu’à la fin des années 1960, de nombreux services médicaux apparaissent, parmi lesquels la cardiologie, l’endocrinologie, l’oto-rhino-laryngologie et l’oncologie. L’hôpital ouvre également un département de radiologie générale qui se dotera d’équipements de pointe. Sa vocation est devenue celle d’un hôpital général.

Les années suivantes marquent un tournant vers la surspécialisation. L’institution aménage en 1975 un Centre de recherche en neurobiologie dont les activités touchent aussi à la psychiatrie, à l’hémato-oncologie et à l’anesthésie-réanimation. Durant cette décennie, la solide réputation du département des sciences neurologiques ainsi que la localisation stratégique de l’hôpital à la confluence de plusieurs grandes routes le transforment en un important centre d’urgence traumatologique.

Au début des années 1980, la construction d’un hélioport permet à un hélicoptère-ambulance de se poser sur les terrains de l’hôpital, puis sur le toit. Le Gouvernement du Québec confie aussi à l’établissement le service d’avion-ambulance qui permet de transporter rapidement à partir de régions éloignées des patients nécessitant des soins d’urgence spécialisés. 

Aujourd’hui, les équipes de l’Hôpital de l’Enfant-Jésus offrent des soins spécialisés et surspécialisés notamment en traumatologie, en soins pour les grands brûlés, en neurosciences et en maladie du sang, des soins d’urgence ainsi que le service des Évacuations aéromédicales du Québec. Les activités de recherche fondamentale, clinique et évaluative du Centre de recherche situé à l’Hôpital de l’Enfant-Jésus sont axées sur la traumatologie, la santé des populations, le génie tissulaire, la médecine régénératrice, la médecine d’urgence et les soins intensifs. Enfin, le laboratoire suprarégional situé à l’Hôpital de l’Enfant-Jésus, intégré dans la grappe Optilab Capitale-Nationale, effectue les analyses d’échantillons pour l’ensemble de la province.

Le site de l’Hôpital de l’Enfant-Jésus accueille également le projet du nouveau complexe hospitalier qui regroupera l’ensemble des activités cliniques, de recherche et d’enseignement de L’Hôtel-Dieu de QuébecCe lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre. combiné à celles de l’Hôpital de l’Enfant-Jésus. Parmi les nouveaux éléments du nouveau complexe hospitalier, mentionnons le Centre intégré de cancérologie qui est en fonction depuis mai 2022. Il s’agit du plus grand centre de cancérologie au Québec et parmi les plus grands au Canada. Il regroupe des services comme la radio-oncologie, les consultations externes en cancérologie, la chimiothérapie et la recherche clinique. 

Photo : 03Q_E6S7SS1P78600_HEJ
Hôpital de l'Enfant-Jésus, Québec, 1950, BAnQ Québec, Fonds Ministère de la Culture et des Communications, (03Q,E6,S7,SS1,P78600), Paul Carpentier, https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/3050174Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre..

Sources
De la Broquerie, Fortier. « Histoire de la médecine : l’Hôpital de l’Enfant-Jésus de Québec », Laval Médical, vol. 36, no 1 (janvier 1965), pp. 82-94. 

De la Broquerie, Fortier. « Histoire de la médecine : l’Hôpital de l’Enfant-Jésus de Québec », Laval Médical, vol. 36, no 2 (février 1965), pp. 193-199. 

De la Broquerie, Fortier. « Histoire de la médecine : l’Hôpital de l’Enfant-Jésus de Québec », Laval Médical, vol. 36, no 3 (mars 1965), pp. 285-294. 

Gingras, Rosaire. « Enseignement médical, l’hôpital et l’enseignement clinique », Laval Médical, vol. 36, n° 5 (mai 1965), pp. 453-465.

Levasseur, Gilles et Comité organisateur des fêtes du 75e anniversaire de l’Hôpital de l’Enfant-Jésus. Soixante-quinze ans de compétence et de dévouement au service des malades, Québec, Centre hospitalier affilié universitaire de Québec, 1998, 73 p.
 



Le résumé de ce récit fait partie de la murale Nos origines qui est exposée dans le corridor menant à la cafétéria de lHôpital de lEnfant-Jésus.

Une première vocation pédiatrique

Laissez-vous raconter les premières années d’existence de l’Hôpital de l’Enfant-Jésus qui s’est d’abord consacré aux enfants pauvres et malades de la région de Québec, et ce, tel que souhaité par la Dre Irma LeVasseurCe lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre..


 

 

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Cliquez sur l'image pour en apprendre plus sur Lucien Côté, premier patient du futur Hôpital de l'Enfant-Jésus.
 
 

ÉVAQ : des soins de haute voltige depuis 40 ans

Le 1er septembre 1981, le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) mandatait l’Hôpital de l’Enfant-Jésus (HEJ) pour opérer un service d’évacuations aéromédicales. 


La création de ce nouveau service a été rendu possible grâce à plusieurs années d’efforts de la part du Dr Pierre Fréchette, un urgentologue de l’Hôpital de l’Enfant-Jésus qui deviendra le premier directeur médical du service des évacuations aéromédicales du Québec (ÉVAQ) et directeur adjoint des services professionnels. 

Le Dr Pierre Fréchette.


Ce service assure depuis maintenant 40 ans le transport aérien des patients des régions éloignées du Québec souffrant de problèmes de santé urgents. ÉVAQ leur permet ainsi d’accéder à l’ensemble des soins de santé spécialisés et surspécialisés des centres hospitaliers de Québec et de Montréal.
 

1981

Le Valentine-Lupien entame son service

Le premier avion-ambulance, le Valentine-Lupien, entame son service en septembre.  L’avion est ainsi nommé en l’honneur de Valentine Lupien, infirmière engagée en 1937 par le ministère de la Colonisation et des Terres et Forêts pour dispenser des soins médicaux dans une région nouvellement colonisée du nord du Québec. 
 

1988

Adieu Valentine, bienvenue Challenger!

Le Valentine-Lupien (avion jaune) est remplacé par un Challenger 601-1A (C-FURG). Ce nouvel avion-ambulance est plus rapide, plus économique en carburant et possède une plus grande autonomie de vol. Les caractéristiques de ce nouvel avion permettent d’améliorer le service d’évacuations aéromédicales.

 

Après 10 ans d’opération, ÉVAQ a transporté 5 889 patients.
 

1998

Une première pour l’avion-hôpital

Sur les 425 appareils de ce genre au monde, l’avion-hôpital C-FURG est le premier Challen­ger 601-1A à atteindre 15 000 cycles (soit 7 500 atterrissages et 7 500 décollages). En partenariat avec Bombardier, le Service aérien gouvernemental fait du développement pour les pièces de cet appareil, ce qui lui procure une reconnaissance internationale pour son savoir-faire en la matière.
 

Après 20 ans d’opération, le service a transporté 16 083 patients.
 

2000

Un service de « navette multipatient »

En juillet, afin de désengorger l’avion- hôpital, un service de navette multipatient est instauré pour les usagers dont l’état de santé ne nécessite pas de soins urgents, mais qui doivent se rendre dans un centre où des services spécialisés sont offerts. La nouvelle navette fonctionne trois jours semaine.
 

2006

Mise en place d’une centrale de coordination

Le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) mandate l’HEJ pour la création d’une centrale de coordination du transport sanitaire aérien et c’est dans ce centre hospitalier qu’elle y sera basée.
 

Après 30 ans d’opération, le service a transporté 52 000 patients.

 

2010

Restructuration du programme d’ÉVAQ 

ÉVAQ est officiellement intégré dans la structure de l’HEJ. Conséquemment, ÉVAQ fait désormais partie du département d’urgence de l’hôpital.

 

2012

Début de l’accompagnement parental pour un enfant de moins de 18 ans 

Les parents sont désormais autorisés à accompagner leur enfant de moins de 18 ans sur le service de navette. Cet accompagnement dans l'avion-hôpital débutera, quant à lui, en 2018.

 

2014-2015

Collaboration avec l’équipe de transport de néonatalogie du CHUL 

Les bébés de moins de 28 jours nécessitent des soins hautement spécialisés et une surveillance constante. En collaboration avec l’équipe de transport néonatal du CHUL, ÉVAQ développe un harnais de fixation pour les bébés voyageant en isolette.

 

2020

Premier protocole « maladie respiratoire infectieuse sévère » (MRIS) développé dans le cadre de la crise sanitaire de la COVID-19

L’équipe interdisciplinaire COVID ÉVAQ, composée de médecins, d’infirmières, professionnels de la prévention et du contrôle des infections ainsi que des partenaires du Service aérien gouvernemental, a mis sur pied des procédures pour effectuer des transferts dans les cas de MRIS. La logistique reliée à ces transferts est énorme et a nécessité plusieurs heures de développement.


 

Vous avez entendu parler de la catastrophe à Kangirqsualujjuaq? D’une mission spéciale à Houston? Ou de la « Mission Noël » dans le grand Nord? Poursuivez votre lecture et apprenez-en plus sur ÉVAQ!

 

L’environnement guérissant

En plaçant le patient au centre de son action, le nouveau bâtiment à la fine pointe de la technologie du Centre intégré de cancérologie offre un environnement guérissant pour nos patients atteints de cancer et un milieu de travail de grande qualité pour nos équipes. Œuvres d’art, jardins extérieurs et aménagements lumineux sont au rendez-vous!


Découvrez le plus grand centre de cancérologie au Québec en le regardant à travers les yeux d’une infirmière, d’une patiente, d’un accompagnateur et de l’architecte et concepteur principal du projet. 




Un résumé de ce récit est exposé au rez-de-chaussée du Centre intégré cancérologie, face au poste de sécurité.

Racines



 
Nicolas Baier, artiste, nous parle de son œuvre Racines, qui orne le hall du Centre de recherche du CHU de Québec-Université Laval situé dans le nouveau Centre intégré de cancérologie.


« Avec cette œuvre, je veux parler du fait que tout est ramification. Tout est arborescence. Nous, comme tout ce qui nous entoure. Nous, comme tout ce qui est et tout ce que nous créons : notre tronc, nos membres, nos doigts, nos systèmes internes, notre cerveau, les rivières, les fleuves, les lacs et les océans, les plantes, les modèles économiques, le web, les toiles d’araignées, les ruches d’abeilles comme les nids de fourmis, nos constructions et nos aménagements urbains, nos communautés, le cosmos, les systèmes solaires, les constellations, les galaxies, jusqu’aux trous noirs et toute la matière visible et invisible. Tout est construit (ou créé) en interrelation.

Pourquoi une œuvre d’art dans ce lieu? Peut-être parce que l’art peut souligner l’esprit de ce lieu, parce qu’il peut permettre à ce bâtiment d’afficher encore plus fermement sa raison d’être, essentielle.

Ma proposition combine deux éléments fondamentaux, le réseau et la lumière, pour créer des œuvres toutes particulières et distinctives et en même temps unifiées par ces deux principes. Je peux le dire autrement : je décline en deux temps et en autant de propositions cette idée inspirante et allégorique de l’enchevêtrement lumineux. 


La première proposition, déployée sur deux murs, dans le corridor, est un jeu de réseaux. Il s’agit d’un bas-relief […]. Ses qualités tridimensionnelles lui permettent de jouer avec la lumière. Ces panneaux occupent toute la surface réservée pour l’intégration. Les panneaux taillés et découpés à la machine-outil reproduisent une arborescence indéfinie : est-ce un gros plan sur une partie du système sanguin? La ramure d’un arbre? Des terminaisons nerveuses ou même l’exosquelette de coraux? Un super amas? L’œuvre ne le dit pas, c’est à tout un chacun d’y voir, d’y trouver sa propre réponse. »

Nicolas Baier
Nicolas Baier est un artiste de Montréal qui expose fréquemment aux États-Unis et en Europe. Ses œuvres font partie de plusieurs grandes collections; il a réalisé de nombreux projets d’art public et a reçu des prix prestigieux depuis le début de sa riche carrière.
https://nicolasbaier.com/Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.